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jeudi 17 mai 2007

Gagner sa vie

Gagner sa vie

Gagner sa vie… Un concept qui donne à réfléchir… Gagner sa vie à la perdre… La perdre à la gagner… Qu’est-ce que ces mots veulent dire? «Que sert à l’homme de gagner l’Univers s’il vient à perdre son âme?»[1]

«Gagner sa vie» est donc une expression puissante, car elle signifie déjà gagner sa vie éternelle, mais elle signifie aussi gagner sa vie terrestre. Il est donc aussi normal de vouloir gagner sa vie terrestre. C’est un droit légitime de tout être humain, car gagner sa vie est la condition de pouvoir vivre sur Terre et même de pouvoir vivre dignement. Mais, tant qu’à la gagner autant qu’à la gagner bien!

Alors, qu’est-ce que bien gagner sa vie? Avec cette expression beaucoup penseront déjà au quantitatif, mais bien gagner sa vie c’est d’abord qualitatif, c’est-à-dire gagner en fonction de ce qui est bien, c’est-à-dire la gagner soi-même honnêtement par son travail. C’est la première chose à considérer.

Celui qui, par un travail ou un commerce honnête, gagne sa vie, n’a donc pas à rougir de son comportement, bien au contraire, et si, en plus, il le fait de manière indépendante et autonome il pourra même en être très fier.

La pauvreté est-elle une vertu? Non! Une fausse interprétation de l’histoire du jeune homme riche, dans l’évangile, à qui Jésus conseille de vendre tous ses biens, de les distribuer aux pauvres, et de Le suivre, est à l’origine, dans la civilisation chrétienne, d’un faux culte de la pauvreté. Si Jésus a dit cela à ce jeune homme riche c’est uniquement parce qu’Il voyait que ce jeune homme riche était entravé, dans son évolution spirituelle, par ses possessions matérielles. Ce conseil le concernait donc personnellement ainsi que tous ceux qui, à l’époque comme aujourd’hui encore, se trouvaient ou se trouvent encore dans son cas (ce qui demeure très répandu). Mais cela ne signifie pas qu’il s’applique indifféremment à tout le monde et encore moins – même s’il vaudrait mieux pour beaucoup de riches qu’ils soient pauvres - que la richesse serait une malédiction en soi.

La pauvreté n’est donc ni une vertu ni un but à poursuivre. D’ailleurs, Jésus a dit: «Je suis venu pour que vous ayez la Vie et que vous l’ayez en abondance Certes, le premier sens de cette Parole est d’abord spirituel, car Jésus Se réfère essentiellement ici à la vie spirituelle. Il n’empêche que la vie en abondance cela concerne aussi la vie sur Terre, car il n’y a aucune raison pour laquelle le Créateur voudrait que, de manière générale, les êtres humains qu’Il a créés soient pauvres et vivent pauvrement ou parcimonieusement.

Le Créateur autorise ses créatures à jouir de tout ce qu’Il a déposé dans Sa Création pour leur bien-être. Il faut juste éviter que la jouissance devienne une entrave, diminuant le libre vouloir de l’être humain.

Les richesses, quelles qu’elles soient, proviennent aussi du Créateur de tout, et ce que le Créateur veut c’est juste qu’elles soient bien utilisées pour la Bénédiction du plus grand nombre, car être riche oblige! Quelqu’un qui est riche se doit donc non d’en jouir égoïstement mais de bien utiliser sa richesse afin de fournir du travail à ceux qui n’en ont pas encore et ne peuvent y arriver seuls.

Certes, le partage est une précieuse Valeur, parce qu’il est lié à l’Amour du prochain et aussi parce qu’il existe une Loi qui stipule qu’il faut donner pour recevoir. Mais partage ne signifie pas don aveugle. Il est très nécessaire, tout au contraire, d’être très réfléchi dans le don, de sorte que celui-ci – donc les cadeaux offerts – puisse toujours s’avérer bénéfique, ce qui ne sera jamais ou rarement le cas en cas de don aveugle ou de cadeaux irréfléchis.

La richesse reçue sans être gagnée est extrêmement endormissante pour les esprits paresseux perpétuellement en quête de commodité et de farniente

La richesse volée ou extorquée, même en respectant les lois terrestres, est toujours source de malédiction: «Bien mal acquis ne profite jamais!» affirme judicieusement le proverbe. Mais la richesse acquise par un juste effort personnel et sans convoitise des biens d’autrui est toujours source de bénédiction.